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Luis Jacob, film Light On (Flash Light), La conscience du reseau, commissaire Felicity Tayler

LA CONSCIENCE DU RESEAU : projection de Light On (Flash Light), 2013, par LUIS JACOB

 

Mardi 12 novembre 2013, 17h - 20h

 

 

En collaboration avec Vidéographe

Commissaire invitée : Felicity Tayler

 

 

SBC galerie d’art contemporain, en partenariat avec Vidéographe et Vithèque, présente un événement d’un soir qui se tiendra à la galerie le mardi 12 novembre à 17h, afin de lancer la programmation virtuelle et l’exposition La conscience du réseau de l’artiste et commissaire indépendante Felicity Tayler. À l’heure du tout virtuel, la particularité de ce programme est d’allier événement physique et virtuel.   

 

Unique et limitée dans le temps, cette expérience et présentation de la nouvelle œuvre de l’artiste torontois Luis Jacob sera, grâce au réseau, partagée avec un public plus large qui est ailleurs et qui vit une expérience similaire dans d’autres lieux et plateformes.

 

La première phase du projet fût la mise en ligne d’une partie des œuvres sur la plateforme www.vitheque.com, disponibles depuis le 24 octobre. La conscience du réseau présente une sélection de vidéos évoquant des métaphores reliées au concept de réseau. Citons La Consommation (1973), une animation éducative produite par le collectif anonyme Bloc Coop, et Réaction 26 (1971) de Charles Binamé, brouillant la démarcation entre environnement naturel et artificiel. Les œuvres de Simon Brown, Darsha Hewitt, Skawennati et Marisa Jahn seront aussi présentées dans cette programmation relevée. Et la dernière œuvre de Luis Jacob, Light On (Flashlight) (2013) qui revient sur le concept de réseau en tant que mode de circulation.

 

La conscience du réseau se poursuivra du samedi 8 février au samedi 8 mars à la librairie Art Metropole de Toronto et le mercredi 19 février à Residency Unlimited, organisme culturel à Brooklyn.

 

Felicity Tayler construit une réflexion sur nos rapports et nos représentations des réseaux contemporains, mettant en exergue leur influence sur nos comportements quotidiens et nos pensées. La notion de réseau a longtemps servi à désigner l’enchevêtrement des technologies du transport et des communications et s’avère aujourd’hui omniprésente à travers les médias sociaux et autres technologies qui amplifient notre vie quotidienne.

 

 

LA CONSCIENCE DU RÉSEAU
Soirée de projection à SBC galerie d’art contemporain
Mardi 12 novembre à 17h

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Extrait d’un texte de la commissaire présentant le projet dans son ensemble

 

Enfin, Luis Jacob dans Light On (Flashlight) (2013) revient sur le concept de réseau en tant que mode de circulation, et la vidéo comme un moyen (parmi d’autres) de renforcer le tissu social en étendant les expériences communes dans le temps et l’espace. Des enfants joyeux s’amusent avec des lampes de poche, et créent entre eux des liens éphémères en jouant avec la lumière et des miroirs. Soudainement, ils tournent leurs lampes vers la caméra, et nous comprenons alors que l’appareil n’est pas qu’un simple observateur, mais un participant depuis le début. De même que nous, les spectateurs, ne sommes pas non plus de simples observateurs. Dans la pénombre de la galerie d’art, la vidéo nous relie aux autres qui regardent avec nous et avec qui l’on discutera d’esthétique et de potins, selon le cas. Il se peut que nous ne soyons ensemble qu’un seul soir, mais nous partageons cette expérience avec un public plus large qui est ailleurs et qui vit une expérience similaire dans d’autres lieux et plateformes. Jacob nous rappelle également que dans ces rapports qui nous lient, ce réseau, il existe des trous où peuvent se déployer d’autres métaphores qui captiveront notre imagination. Dans une petite pièce adjacente à l’événement principal, deux vidéos offrent une atmosphère silencieuse et contemplative, nous permettant ainsi de nous évader sans quitter la fête. Theory (2002) nous montre trois jeunes gens qui aspirent à reproduire les formes idéales des sculptures modernistes d’Henry Moore. Leur échec nous rappelle que dans toute approche analogique, les parallèles sont imparfaits. Les ouvertures dans les sculptures suggèrent qu’il existe encore d’autres trous dans lesquels nous pouvons nous glisser... Lire la suite

 

Visionner les vidéos

 

 

Plus d'information

 

Luis Jacob :

http://www.canadianart.ca/artist/luis-jacob/

http://birchlibralato.com/artists/index.php?artist=16

 

Vidéographe : 

http://www.videographe.qc.ca/

 

Crédit image : Light On (Flashlight), 2013, extrait de la vidéo. Avec l'aimable autorisation de l'artiste.

 

 

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